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Les arbres étant des puits de carbone, ils le captent naturellement et l’emprisonnent pendant des années. Ce faisant, ils réduisent la quantité de GES présents dans l’atmosphère. « Cette compensation carbone ne se fait pas instantanément », prévient toutefois Claude Villeneuve, titulaire de la Chaire en éco-conseil de l’Université du Québec à Chicoutimi et instigateur du projet Carbone boréal, qui allie compensation carbone et recherche scientifique.