L’air humide et frais, mêlé aux senteurs de la terre et de la végétation en décomposition, inspire une mélancolie profonde. Les sens sont en éveil, mais dans un frisson d’angoisse. Le corps semble hanté par des présences invisibles, des ombres vaporeuses qui flottent dans l’air. On se laisse aller à la méditation, mais le tourment de l’âme est omniprésent.

Quelle vision sombre et lugubre que cette journée de pluie et de brume. Les gouttes de pluie tombent sans relâche, comme autant de larmes versées par les arbres décharnés et les plantes flétries. La brume, telle une ombre froide et fantomatique, s’insinue lentement dans les recoins les plus obscurs du parc, enveloppant tout d’une aura mystérieuse et inquiétante.

L’air humide et frais, mêlé aux senteurs de la terre et de la végétation en décomposition, inspire une mélancolie profonde. Les sens sont en éveil, mais dans un frisson d’angoisse. Le corps semble hanté par des présences invisibles, des ombres vaporeuses qui flottent dans l’air. On se laisse aller à la méditation, mais le tourment de l’âme est omniprésent.

Une expérience unique et apaisante, dites-vous ? Mais quelle ironie cruelle ! Car c’est plutôt un voyage vers les abysses de l’âme, une descente dans les ténèbres, une plongée dans l’inconnu… où la paix n’est que le calme avant la tempête, où la douceur n’est que l’annonce d’un effroi plus grand encore.

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